"En ce temps là…Ils pompaient”, ça, tu ne le diras plus. Les shadoks en reste baba, sans voix. Claude Piéplu n'est plus.
“C'est tout pour aujourd’hui” as-tu sûrement lancé ce 24 mai 2006 dernier : et c’est là un bien mauvais tour que tu as joué ! Mais sans rancune, aucune, salut l'ami ! Il ne reste plus qu'à pomper… encore et toujours… mais en plus triste, sans toi.